Enseignement : février 2024
L’histoire de la venue de Sanat Kumara, sur la terre. Lui, l’Ancien des jours, le premier gardien de la flamme qui a sauvé la terre et ses habitants, il y a des milliers d’années. (suite)
Ce flot puissant du fleuve d’eau de la vie est le signe véritable des chélas bien vivants du Gourou vivant.
Que soit nettoyé le corps du désir !
Que soit purifiée la motivation du cœur !
Que votre désir soit le désir de Dieu en vous de restaurer dans l’âme le flot équilibré de l’eau comme le flot descendant de l’eau de la vie d’Alpha et d’Oméga !
Voici, c’est ce feu sacré qui est le caducée qui s’élève dans l’équilibre du plus et du moins par votre méditation sur les courants descendants et ascendants comme l’eau et le feu s’unifiant pour donner la vie !
Laissez l’eau de la vie purifier l’âme !
Laissez le feu sacré être réintroduit dans les cellules du corps vivant de Dieu, une par une, avec la présence personnelle du Verbe !
Voyez l’image du Seigneur Christ et de son Agneau dans chaque cellule du corps de Dieu, mondes sans fin !
Vous m’appelez Sanat Kumara, et vous me connaissez comme celui qui s’est tenu devant le conseil cosmique connu sous le nom du Conseil des cent quarante-quatre.
Vous me connaissez parce que vous avez été témoins de mon plaidoyer en faveur des évolutions de la terre qui avaient oublié la présence de l’Agneau, qui par leur désobéissance se sont détournées du Gourou vivant.
Vous me connaissez comme celui qui s’est porté volontaire pour incarner la triple flamme sur la terre pour les évolutions progressant dans les sept plans de l’être – le feu, l’air, l’eau et la terre.
Le Conseil cosmique décréta la dissolution de la terre et de ceux qui y évoluaient parce que l’âme de ses enfants n’adorait plus la Trinité dans la triple flamme de la vie brûlant sur l’autel du cœur. Ils étaient devenus des brebis égarées. Ils portaient leur attention sur la manifestation extérieure, ils avaient délibérément et par ignorance, abandonné la marche intérieure avec Dieu.
Ils ne connaissaient pas l’homme secret du cœur, l’être béni Ishvara, et les sept cierges ne brûlaient plus dans les sept fenêtres. Les hommes et les femmes étaient devenus vides, leurs chakras des trous noirs dans le temps et l’espace ; et leur temple corporel devint le tombeau de la mort ; et les esprits de la mort firent leur demeure de ces temples vides.
C’est ainsi qu’ils furent jugés par le Conseil des cent quarante-quatre tout comme leurs descendants entendraient le jugement du Fils de Dieu. Donc, la lumière de leur temple s’était éteinte et le dessein de Dieu, pour lequel il avait créé l’homme, afin qu’il soit le temple du Dieu vivant, n’était plus accompli. Ils étaient tous des morts vivants, un réceptacle fait de Matière sans âme lumineuse, une coquille vide. Il n’existait nulle part sur terre une école de mystère – pas de chela, pas de Gourou, pas d’initiés sur le sentier de l’Accomplissement christique individualisé.
L’heure du jugement était arrivée, et celui qui était assis sur le trône au milieu des douze fois douze hiérarchies de lumière a prononcé la sentence approuvée par un consensus unanime : que la terre et ses évolutions soient roulées comme un parchemin et allumées tel un cierge du feu sacré. Que toutes ces énergies perverties soient retournées au Grand Soleil Central pour y être repolarisées.
Que cette énergie soit réalignée et rechargée de la lumière d’Alpha et d’Oméga. Qu’elle soit de nouveau imprégnée par le Créateur dans la création continue des mondes sans fin. Les conditions exigées par la loi pour sauver la Terre sont qu’une personne doit se qualifier en tant que Gourou incarné, l’Agneau, et vivre dans le plan physique pour maintenir l’équilibre et garder la triple flamme de la vie pour et au nom de toutes les âmes vivantes.
Cela satisfait la loi de l’Unique que celui qui médite sur le Christ Éternel puisse compter pour un grand nombre jusqu’à ce qu’un grand nombre puisse à nouveau devenir responsable de leurs paroles et de leurs actes et commencer à porter le fardeau de leur lumière de même que le karma du bien et du mal relatif qu’ils ont créé.
Et j’ai choisi d’être celui-là.
J’ai choisi d’être ce fils ardent de la droiture pour la terre et ses évolutions.
Après de longues délibérations, le Conseil cosmique et Celui qui est sans Nom ont approuvé ma pétition, et la dispense d’un nouveau plan divin pour la terre et ses évolutions a vu le jour. Car la loi cosmique stipule que lorsqu’un hiérarque, qui a atteint certains niveaux et certaines dimensions de conscience cosmique, se porte volontaire pour être le berger d’âmes qui sont les brebis perdues, la pétition doit être accordée. Là où il n’y a pas de Gourou, il ne peut y avoir de disciples ; là où il n’y a pas de berger, il ne peut y avoir de brebis. Car il est écrit : frappez le berger et le troupeau sera dispersé.
Mais le Gourou ne peut recevoir l’opportunité d’être un Gourou que pendant un certain cycle ; et à la fin de ce cycle, si les âmes n’ont pas répondu en tant que disciples, en raison de leur attitude récalcitrante et de la dureté de leur cœur, à la flamme du cœur du Gourou, alors le Gourou doit se retirer. Et ce qui aurait dû être ne peut l’être, et aucun autre hiérarque ne recevra la dispense.
Alors je me suis agenouillé devant le grand trône blanc de Celui qui est sans Nom et il m’a dit :
« Mon fils, Sanat Kumara, tu t’assoiras sur le grand trône blanc devant les évolutions de la terre. Tu seras pour eux le Seigneur Dieu au plus haut des cieux. En vérité, tu seras la plus haute manifestation de la Déité qui leur sera donnée jusqu’à ce que, par le sentier initiatique, leurs âmes s’élèvent jusqu’à ton trône de conscience et se tiennent devant toi en louant le JE SUIS CELUI QUE JE SUIS que tu es. Et ce jour-là lorsqu’ils se lèveront et diront ' Bénédiction, honneur, gloire et pouvoir à celui qui est assis sur le trône et à l’Agneau à jamais et à jamais ' – alors, leur rédemption approche. Dès lors, pour les évolutions de la terre, tu seras Alpha et Oméga, le commencement et la fin, dit le JE SUIS CELUI QUE JE SUIS, celui qui est, qui était et qui doit venir, dit le
Tout-Puissant ».
Et il a déposé sur moi le manteau de parrainage du Père envers le Fils qui deviendrait pour moi son parrainage des courants de vie qu’il faisait miens. C’était un geste de confiance. C’était l’initiation du Père dans le Fils. Et je me suis agenouillé devant Celui qui est sans Nom et j’ai loué Dieu, disant : « Tu es digne, Ô Seigneur, de recevoir gloire, honneur et pouvoir ; car tu as créé toutes choses, et c’est par ta volonté qu’elles existent et qu’elles ont été créées ».
Et lui, le grand Gourou, a réaffirmé l’approbation, complétant ainsi le cercle de dévotion. Il a reconnu la lumière que lui, et lui seul a placée dans mon cœur comme l’image embrasée de lui-même, et il dit à cette image : « Tu es digne, Ô Seigneur, de recevoir gloire, honneur et pouvoir ; car tu as créé toutes choses, et c’est par ta volonté qu’elles existent et qu’elles ont été créées ». En conséquence, je suis dans le Père et le Père est en moi et nous ne faisons qu’un, mondes sans fin. Et sans cette unité, il ne peut y avoir de pétition ni de dispense, peu importe votre niveau d’évolution.
(à suivre…)
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