Enseignement : octobre 2024
Nous poursuivons, ici l’enseignement inestimable de Sanat Kumara sur le sentier de l’amour accéléré – le Sentier du Rayon Rubis. En lisant le texte qui suit, vous découvrirez son grand amour pour vous et pour tous les chercheurs spirituels qui marchent sur le sentier initiatique.
« Voulez-vous être des saints, mes bien-aimés ? » nous demande-t-il. « Voulez-vous être la gloire du Bouddha, être la gloire du Christ, être la gloire d’un cœur de Mère – et même la gloire de la Vierge cosmique dont la gloire est fondée sur son désir ardent de voir ses bien-aimés expier leurs fautes et revenir à la maison ? »
Entrons dans la chambre secrète du cœur, méditons sur la flamme non alimentée qui y brûle, et répondons à Sanat Kumara…
JE SUIS l’Éternel Jeune. Voici, je révèle mon nom caché dans la fleur ardente du cœur, et même la beauté du lys sacrificiel. Comme il est remarquable, celui qui est devenu le Bouddha ! Ainsi, en lui j’ai mis toute mon affection.
Donc, je parraine les Bouddhas – le Seigneur Jésus, le Seigneur Maitreya : et le Seigneur Gautama.
Et je parraine le saint qui vit en vous, parmi vous, et qui serait heureux d’être la plus pure et la plus belle des fleurs – invisible, discrète – et cependant, dans la pleine intensité de la progression des cycles cosmiques, elle se prépare à l’heure de la crucifixion, apparaissant alors, comme la plus sublime de toutes les fleurs sur la terre. Nulle plus sublime n’a orné le tombeau où Jésus a été déposé, ô cœurs bénis.
Ainsi, la vie élémentale – sachant que l’avatar doit résoudre la formule cosmique de l’être pour chaque parcelle de vie – vient joyeusement participer à sa gloire.
Bouddha Maitreya
Voulez-vous devenir des saints, mes bien-aimés, être la gloire du Bouddha, être la gloire du Christ, être la gloire du cœur d’une Mère – et même la gloire de la Vierge cosmique dont la gloire est fondée sur son désir ardent de voir ses bien-aimés expier leurs fautes et revenir à la maison ? »
Je t’aime !
Je n’aime que toi
D’un amour qui ne s’éteindra pas
Avant que le soleil ne se refroidisse
Et que la terre ne vieillisse
Et que le Livre du Jugement ne soit ouvert.
C’est le vœu, le vœu intérieur
Du bodhisattva qui vient
Déposer le lys
Aux pieds de la Mère bénie.
Je t’aime !
Je n’aime que toi
D’un amour qui ne s’éteindra pas
Mais vit et donne de lui-même
À jamais et à jamais
Comme le lys calla vêtu d’or et de blanc
De ta vie en moi
Que j’élève
L’être sublime
L’Être de compassion.
Ô Mère, je voudrais être
Le Bouddha là où tu es.
Ainsi, les saints de l’Orient et de l’Occident sont disposés en réseaux et champs de forces tout autour du corps mystique de la terre tout comme la règle d’or part du cœur vers le vaste au-delà – chacun des saints portant le lys de la sainteté, le porteur du flambeau de la flamme Mère.
Saviez-vous, cœurs bénis, que le lys calla est l’ornement de la Mère et le symbole brodé sur sa bannière ? Voyez comment cette fleur, qui a choisi d’être la première parmi les élémentaux, la première parmi les dévas du lys calla, est devenue le symbole de cette bannière, afin que des mains laborieuses puissent la broder – et ce faisant, elles l’ont brodée sur leur propre vêtement de prêtres et prêtresses venant de la Lémurie. C’est le lys lémurien.
Ainsi, vous voyez six pétales issus de l’Orient et de l’Occident qui deviennent cette flamme magnifique. Les deux lys sont pour la résurrection, un pour la Mère et l’autre pour son fils béni – le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs.
Ainsi, il y a fort longtemps, les dévas de ces lys pascals décidèrent de créer la fleur qui révélerait l’étoile à six branches de David. Et l’or au centre et la triple flamme : le signe de la venue du Christ, le signe de l’image de l’homme intérieur, même l’homme intérieur du cœur, qui sort du tombeau pour révéler, en bas comme en haut, ces triangles entrelacés de l’être – à jamais et à jamais ce Verbe vivant du JE SUIS !
JE SUIS le Seigneur Dieu dont vous avez entendu la voix et vous l’entendez maintenant ! Les anges chantent les louanges des saints. Et, cœurs bénis, vous êtes comme ce lys calla – prévoyant, projetant votre plus pure manifestation, le couronnement de la vie divine, comme l’offrande suprême de cette incarnation finale, pour un bon nombre.
Et jusqu’à la plénitude de la gloire de la crucifixion et de la résurrection, votre identité demeure secrète, inconnue – jusqu’au jour où le Seigneur marche dans le jardin, comme vous avez marché avec lui au jardin de Gethsémani.
Il vient au jardin. Il vient parmi les siens. Et il en cueille un parmi eux pour le rituel de l’ascension.
Les fleurs de l’ascension sont annonciatrices ! Et elles signalent l’annonciation de chaque initiation – du concept immaculé de votre naissance dans le cœur de la Mère jusqu’à votre retour victorieux. La naissance sur terre. La naissance au ciel. Nous venons.
La lumière bouddhique est le levain de la flamme Mère. Dans le Trente-trois, dans l’Être exalté, dans Celui qui est Élu, dans le Christ – j’ai mis toutes mes complaisances. Me permettrez-vous, parfois, d’utiliser votre corps grossier pour que je puisse me manifester tout comme j’utilise le corps de la messagère pour paraître devant vous ? J’ai confiance que la rosée sur le lys représente la parole de votre cœur : oui, j’accepte, mon Seigneur Sanat Kumara.
JE SUIS l’Éternel Jeune par la flamme de résurrection, par l’Esprit, par le nom, par le centre doré. C’est le sceptre du Verbe. Voici le symbole de Brahman avec lequel était le Verbe. Voici le mystère de la Vie. Cœurs précieux, il y a un grand honneur accordé à cet élémental, invisible à vos yeux, qui se tient là en tant que gardien de sa création. Avec l’ange déva issu du feu sacré, une lumière vivante apparaît dans ces sphères de Matière grossière afin que vous puissiez voir cette pure chandelle rayonner aussi facilement que rayonne ma chandelle.
Si Dieu peut accomplir le miracle du lys, par tendresse, ne peut-il pas accomplir le miracle de Moi-même me manifestant dans votre chair chaque jour ? Voyez comment certains tiennent pour acquis le plus grand miracle de la vie, la floraison des fleurs. Elles sont le signe de l’épanouissement de l’État christique, de l’État bouddhique, de la Maternité.
Oui, en effet, mes bien-aimés, vous êtes le grand miracle de la lumière du temps pascal qui provient des rives du Grand Soleil Central jusqu’aux rives de l’avatar.
JE SUIS Sanat Kumara Brahma devenu l’Unique Pearls of Wisdom, vol. 24, no 21, Sanat Kumara, 24 mai 1981 (à suivre…)(à suivre…)
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