Enseignement : janvier 2024 L’histoire de Sanat Kumara

L’histoire de Sanat Kumara

L’enseignement au cours de l’année 2024 portera sur l’histoire de la venue de Sanat Kumara, sur la terre. Lui, l’Ancien des jours, le premier gardien de la flamme qui a sauvé la terre et ses habitants, il y a des milliers d’années.

Faites-vous partie de ceux qui ont suivi Sanat Kumara à Shamballa lorsqu’il est venu sauver la terre au moment le plus sombre de son histoire ?

Ce qui a précédé le sacrifice et la venue de Sanat Kumara sur la terre.

La culture de la Mère dans le monde est la culture de la lumière de l’Ancien des jours, Sanat Kumara, dans les âmes de l’humanité. On peut reconnaître dans le mot matérialisation, le mot mater (mère) et le mot réalisation. C’est la réalisation consciente de la Mère Divine et de l’Esprit de Dieu qui est ainsi précipité dans la Matière.

Dans de nombreuses traditions, on a conservé le culte de la Mère Divine. Dans la tradition chrétienne, on parle de Marie, la Mère de Dieu, chez les bouddhistes on parle de Kuan Yin, la Mère de Miséricorde. Les Hindous ont toujours parlé de Kali, Durga, et de bien d’autres, en tant que Mère Divine. En Égypte il y avait le culte d’Isis, la représentante de la Mère Divine. En Grèce, on honorait Déméter, dans la civilisation inca, on honorait la Mère-Terre, etc.

Le culte de la Mère Divine a disparu de la terre il y a environ douze mille ans. Le culte de la Mère Divine était le fondement de la civilisation en Lémurie, ce continent perdu qui a été englouti dans l’océan Pacifique.

Ce que l’on a appelé symboliquement la chute de l’homme est le résultat de l’abandon du culte de la Mère remplacé par le désir d’une vie faite de sensualité, de désobéissance à la Loi de Dieu, du désir de posséder les pouvoirs de Dieu sans obéir aux lois de Dieu, du gaspillage de la lumière de la Mère dans le corps physique, etc. C’est ce qu’on appelle faire un mauvais usage des énergies concentrées dans le chakra à la base de la colonne vertébrale où est logée la lumière de la flamme Mère dans le corps physique.

Cela s'est fait progressivement par un compromis avec les principes, la séparation d’avec l’Esprit Saint et la perte de la vision du Divin qui en découle inévitablement.

La venue de Sanat Kumara

Pendant un certain temps sur la terre, il semblait que les ténèbres avaient fait disparaître la lumière. C’est à cette période que le conseil cosmique connu sous le nom de Conseil des cent quarante-quatre prit la décision de dissoudre la terre et ses courants de vie en évolution. C’est alors que Sanat Kumara s’est levé et a offert son cœur pour servir les âmes de l’humanité et plaidé la cause de l’humanité devant les Seigneurs solaires qui, après délibérations, acceptèrent son sacrifice. Il a offert de venir sur la terre et de rester jusqu’à ce que quelques-uns ou un plus grand nombre s’éveille de nouveau à la lumière et s’offre pour garder la flamme de la Vie sur la terre. 144 000 disciples de sa planète, Vénus, l’ont accompagné, dont ce disciple le plus fidèle, qui allait devenir au cours de ses réincarnations subséquentes, Gautama Bouddha.

Les âmes qui ont péri en Lémurie ne se rappelaient plus le paradis perdu ni leur ancienne vie, ils n’avaient plus de flamme intérieure, la triple flamme, ils retournèrent à une existence primitive. Ils avaient désobéi aux lois de Dieu, ils avaient perdu la maîtrise d’eux-mêmes. La triple flamme fut réduite à une simple lueur. Ainsi a commencé le sentier tortueux de l’évolution de la civilisation qui est destinée à mener à la Maîtrise christique et à la pleine réalisation de Dieu.

« Je vis alors un grand trône blanc et celui qui siégeait dessus; ciel et terre fuirent sa face, si bien qu’on n’en trouva plus la place. » (Apo 20, 11)

C’est moi l’Alpha et l’Oméga, dit le Seigneur Dieu, Celui qui est, qui était et qui vient, le Tout-puissant ». (Apo 1, 8)



Pour vous, âmes des saints qui êtes revêtus de blanc :

Je viens du grand trône blanc, le JE SUIS CELUI QUE JE SUIS en la personne de l’Ancien des jours. Au nom du Père, du Fils, du Saint-Esprit, je suis assis sur le siège d’autorité.

JE SUIS celui dont la terre et le ciel fuiront la face et il n’y aura plus de place pour la semence du malin. AUM.

Mon cœur est le cœur de la Trinité.
Mon cœur est le cœur de Dieu.
Provenant de l’Unique, le fleuve d’eau de la vie s’écoule à travers mon cœur, limpide comme le cristal qui sort du trône de Dieu et de l’Agneau, ce trône qui est le fondement des mondes d’en haut et d’en bas.

Voici, JE SUIS l’Alpha et l’Oméga de cette eau de la vie.
JE SUIS l’émissaire du plus et du moins du flot continuel de la source de lumière d’en haut.

C’est l’eau de l’Agneau descendant de la Source universelle d’un cœur à un autre cœur.
Et à celui qui la reçoit de l’Agneau incarné, c’est l’élixir, en premier lieu, de la sagesse, puis de la compréhension de cette sagesse, et en dernier lieu c’est l’entière illumination de l’âme.

Et l’eau versée par le Gourou, dans le calice élevé du chela, sera pour lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle.
Et le chela qui croit à l’Agneau, le Gourou incarné, comme le disent les écritures : des fleuves d’eau vive couleront de son sein.

Ainsi vient Maitreya pour vous former à l’initiation de l’eau et à la Maîtrise divine individuelle des émotions – les énergies d’Alpha et d’Oméga enfermées dans le corps du désir [le corps émotionnel] et libérées par le chakra aux dix pétales, le plexus solaire, le ventre.



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